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et visitez la librairie de Rita !→
Le chien est le seul être sur terrequi vous aime plus qu'il ne s'aime lui-mêmeHenri Wheeler Shaw Compagnon de solitudeJ'ai découvert que , quand on est profondément ébranlé,il est un réconfort que l'on peut obtenir de ce petit compagnonsilencieux et dévoué qu'est le chien,et qu'on ne pourrait obtenir nulle part ailleursDoris Day Il ne pose pas de questionsEn tout cas, le chien est un animal très imprudent. Il ne se préoccupe guère de savoir si vous avez raison ou tort Il s'en fiche si vous montez ou descendez sur l'échelle sociale, ne se demande jamais si vous êtes riche ou pauvre, bête ou malin, pêcheur ou saint. Que viennent la chance ou la malchance, une réputation flatteuse ou mauvaise, la gloire ou la honte, que lui importe ! Il reste avec vous, vous garde, donnerait sa vie pour vous sauver. Jerome K Jerome
Pug est arrivé ! Pour combler le vide par les faux amis, "les étroits de coeur". Je vois déjà qu'il n'est pas jaloux, que son coeur est sans haine,, sa malice sans perfidie. Il ne va pas trahir mes secrets. Il ne va ressentir aucun sentiment d'envie face à mes succès, il ne se réjouira pas de mes chagrins Georges Eliot L'amitié du chien est sans contexte plus vive et plus constante que celle de l'hommeMichel de Montaigne
Il n'existe pas de fidélités qui n'aient jamais trahies, sauf celle d'un chien vraiment fidèle Konrad Lorenz Acheter un chiot, c'est être certain que son argent rapportera des intérêts solides en affection ! Rudyard Kipling
Il a besoin de vous, comme vous d'un bon maître. Si la providence vous l'envoie, vous le recueillerez doucement dans les pans de votre habit et le portant à votre foyer vous lui ferez place comme à votre dernier ami. Lacordaire
Cette page pour partager avec vous la lecture de quelques textes.
sous le regard de ma sympathique bergère allemande Rita !
Laissez vous porter par la musique en lisant ce poème de Baudelaire La musique souvent me prend comme une mer !Vers ma pâle étoile,Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther,Je mets la voile !La poitrine en avant et les poumons gonflés,Comme de la toile,J'escalade le dos des flots amoncelésQue la nuit me voile;Je sens vibrer en moi toutes les passionsD'un vaisseau qui souffre;Le bon vent, la tempête et ses convulsionsSur l'immense gouffreMe bercent. D'autres fois, calme plat, grand miroirDe mon désespoir !
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